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Mais justement, mon cœur, je voulais te la présenter, c'est...
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c'est une amie d'enfance.
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Une amie d’enfance, mais tu me prends pour qui?
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Je la trouve nue dans tes bras et c’est une amie d’enfance. Vraiment.
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Ouais ouais ouais, mais justement, c’est parce que je suis entré dans la chambre et elle était à poil et elle voulait sauter par la fenêtre,
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du coup, j'ai... c’est un peu moi qui l’a sauvée.
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T'es un héro.
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Viens, tu l’as insultée, tu ne sais pas.
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C'est vraiment trop con.
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Tu ris si mal, tu ris de vide
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Des tâches de vin sur ta chemise
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Qui a deux boutons éclatés
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Sur ton corps qui me repoussait
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Tu fais l’amour en deux poussées
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L'amant, le manque et la tournée
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Et pendant que tu t’articules
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Moi je soupire et toi, tu meurs
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Menaces de partir
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Parce que je hurle
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Quand tu chantes tes souvenirs
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Eh bien chéri
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Prends donc la porte
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Car tu sais que plus rien ne me va
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Mais dis moi adieu demain
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Mais dis moi adieu en chemin
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Va voir les autres, je n’en pense rien
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Je t’ai aimé et je t’assure que c’est la fin
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Crois-tu pouvoir enfin me dire
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Que tu veux bien qu’on reste amis
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Non c’est gentil, ça va comme ça
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Des amis j’en ai plein déjà
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Je n’aurai donc plus à t’entendre
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Rentrer la nuit quand j’attends l’aube
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Qui arrive en poussant les heures
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Moi je me lève et toi, tu meurs
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Menaces de partir
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Parce que je hurle
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Quand tu chantes tes souvenirs
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Eh bien chéri
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Prends donc la porte
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Car tu sais que plus rien ne me va
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Mais dis moi adieu demain
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Mais dis moi adieu en chemin
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Va voir les autres, je n’en pense rien
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Je t’ai aimé et je t’assure que c’est la fin
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Mais dis moi adieu demain
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Mais dis moi adieu en chemin
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Va voir les autres, je n’en pense rien
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Je t’ai aimé et je t’assure que c’est la fin
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Et bien... J'ai l'impression dans la tête là. Me sens fatiguer ; je fais entrer à la maison ?
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T'as envie d'entrer à la maison ?
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Oui.
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Okay, d'accord.