Ce soir, je voudrais vous donner un compte rendu à propos à l'intervention internationale dont l'Etats Unis à pris la direction. Ce que nous avons fait, et ce que nous on l'intention à faire d'ici, en quoi ça nous concerne. Je commence en donnant hommage à nos hommes et nos femmes militaires qui ont agi avec du courage, du professionalisme, et patriotisme. Ils ont agi à la fois rapidement et avec de la force. Grace à eux, et nos diplomates assidues, une force armée de coalition s'est réunie, et a épargnée une très grand nombre de vies. Cependant, au meme moment que je parle ici, nos soldats sont en traine de soutenir notre allié le Japon, nous redonnent l'Iraq à son peuple, et en meme temps nous arretons le progrès du Taliban en Afghanistan, et nous font la chasse à al-Qaeda partout dans le monde. En tant que du Commandant en Chef, je suis reconnaissant à nos soldats, nos marins, nos hommes et femmes de l'armée de l'air, nos marines, et nos personnels de la gendarmerie maritime, et à leurs familles tous: je sais bien que tout Américain partage ses memes sentiments. Pendant maints de générations d'Américains, les Etats Unis d'Amérique a joué un rôle unique en tant que ancre de la défense de la paix globale. et en tant que défenseur de la liberté humaine. Conscient des risques et couts du déploiement des forces militaires nous sommes retissant toujours d'aller aux armes pour résoudre des conflits partout dans le monde. Mais, si jamais nos intérêts et nos valeurs sont mis en jeu, nos avons la responsabilité d'agir. C'est ce qui s'est passé en Libye pendant les derniers six semaines coulantes. La Libye se situe en plein milieu entre la Tunisie et l'Egypt: deux payes qui ont inspiré le monde entier quand leur peuple se sont soulevé pour prendre leur propre destin en main. Pour plus que quatre décennies les peuple de la Libye avait été gouverner par un tyran, Muamar Qhadaffi. Il a empêché à son peuple la liberté, il les a exploité, il a tué ses opposants en Libye et à l'étranger, et il a terrorisé les innocents partout dans le monde, qui inclue des Américains qui avaient été tués par les agents Libyens. Le mois dernier la prise de Qhadaffi sur le pouvoir semblait de s'ébranler devant la promesse de la liberté. Dans les villes et les bourgs partout dans le pays, le peuple du Libye sont sortis dans la rue pour réclamer leur doits d'hommes du base. Comme a dit une personne, "Pour la premiers fois, nous avons l'espoir que nos cauchemars du derniers quarante ans seront en fine terminés. Avec la montée de l'opposition, Qhadaffi a comencé d'attaquer son peuple. En tant que President, mon souci immédiat était la mise hors de danger les citoyens Américain au Libye, et donc nous avons fait évacuer l'ambassade et tout autre Américain qui en demandait. Quand nous avons agi rapidement, en plusieurs étapes pendant quelques jours, pour répondre à l'aggression de Qhadaffi, nous avons gelé plus de 33 milliard de dollars d'actifs bancaire du régime. Ensemble avec les autre nations du Conseil de Securité de L'Organisation des Nations Unis nous avons élargi les sanctions déjà en place, mis en place un embargo d'arms, et ont averti celles de l'entourage de Qhadaffi que désormais ils pouvaient être tenue en compte pour leurs propre crimes. J'ai dit très clairement que Qhadaffi a perdu la confiance de son peuple et tout légitimité pour diriger, et j'ai dit que il devait quitté son rôle de dirigeant. Devant la condamnation du monde entier, Qhadaffi a choisi d'augmenter des attaques, en commençant un campagne militaire contra le peuple du Libye. Les innocents étaient ciblés pour être tué; les hôpitaux et les ambulances étaient attaquées. Des journalistes étaient arrêtés, attaqué sexuellement, et tués. Les voies d'approvisionnement de la nourriture et du pétrole a été coupé. L'eau potable pour des centaines de milliers de peuple à Misrata étaient bloqués. Les villes et bourgs partout étaient bombardés, aussi des mosquées étaient détruites, les appartements réduits aux gravats. Les avions de réaction d'attaque militaires et les hélicopterès de combats déchainaient sur le peuple qui n'avaient pas de moyens de se défendent contra un attaque de l'air. Confrontais par une répression d'une telle brutalité, ainsi qu'un crise humanitaire en perspective, j'ai commandé des navires de la marine à se positioner dans la Méditerranée. Les alliés d'Europe ont été d'accord à s'engager aussi militairement pour arrêtés la tuerie. L'opposition libyen ainsi que la Ligue arabe ont supplié au monde entier à épargner les vies humaines en Libye. Désormais, par mes efforts, l'Etats unis a pris la direction d'un initiative, ensemble avec d'autre nations membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, à faire accepter une résolution qui établie un zone d'interdiction de vol pour sur la Libye pour empêcher les attaques des avions du régime et qui autorise tout autre mesure nécessaire pour protéger les peuple libyens. Il y a dix jours, après avoir tenté de mis la fin au violence sans l'emploie de force, la communauté internationale a proposét à Qhadaffi une dernière opportunité d'arrêter la campagne de tuerie ou fait face aux conséquences. Plutôt que cessé les hostilités, ses forces militaires ont continuées avec leur avance acharnée vers la ville de Benghazi. Lieu de vie de presque 700,000 hommes, femmes et enfants, cherchant la liberté de la peur. C'était à ce point que les Etats Unis et le monde était mis devant un choix. Ohadaffi a déclaré la détermination à agir sans clémence vis à vis son peuple. Il les a comparé aux rats et les a proféré la menace de leurs chercher en allant porte a porte pour les infliger une punition. Dans la passé nous l'avons vu pendre les civil dans les rues, et tue plus d'un milliers dans une journée. Puis, nous avons vu que les forces du régime arrivent au bord de la ville. Nous étions sûr que un retard d'un seul jours aura condamné la ville de Benghazi, une ville de presque la taille de Charlotte, dans la Carolina du nord, à une massacre d'une grande envergure qui aura fait des retentissements partout dans le région et aura taché la conscience du monde entier. Il n'était pas dans nos intérêts nationales de laisser passé un tel événement. J'ai refusé de laissé passer un tel événement Donc, il y a neuf jours, après avoir pris des conseils de membres du congres des deux parties, j'ai autorisé l'utilisation de la militaire de agir pour arrêter la tuerie et imposé l'ordre 1973 du Conseil de Sécurité de l'ONU. Nous avons attaqué la force militaire de Qhadaffi justement en traine de préparer son entrée à Benghazi pour sauver la ville et ses habitants. En plus, nous avons confronté les soldats du régime près de Adjabiya qui a permis les forces de l'opposition à les pousser dehors. Nous avons frappé le système de la défense arienne de Qhadaffi préalablement , ce qu'a fait possible le établissement de la zone interdiction de vol. Nous avons tiré sur les chars et d'autre moyen militaire qui faisaient un blocus des bourgs et des villes, et nous avons coupé leur lignes de ravitaillement d'armes. Ce soir, je peux vous faire savoir que nous avons arrêté l'avancé meurtrière de Qhadaffi. Dans cette démarche, les Etats Unis n'a pas agi tout seul. Au contraire, nous avons y participé en tant que partenaire dans un coalition forte, et grandissant, avec nos alliés proches comme le Grande Bretagne, le Canada, le Danemark, la Norvège, l'Italie, l'Espagne, la Grèce, et la Turquie. Tous avons lutté à notre côté pendant des décennies. Elle inclue aussi le partenaires arabe comme le Qatar et les Emirates, qui ont choisi de prendre leurs responsabilités à défendre le peuple Libyan. Pour faire le bilan, dans un seul mois les Etats Unis a travaillé avec nos partenaires internationales à mobiliser une grande coalition, à mettre en place un mandat pour protéger les civils, à arrêter l'avancé d'une armée, à empêcher une massacre, et à établir un zone d'interdiction de vol, avec nos alliés et nos partenaires. Pour donner un peu de perspective sur la vitesse que cet dispositif militaire et diplomatique s'était rassemblé, quand le peuple de la Bosnie ont été brutalisé dans les année '90, la communauté internationale a pris plus d'un ans pour intervenir avec les avions pour protéger les civils. Cette fois ci, nous l'avons fait dans l'espace de trente-et-un jours. D'avantage, nous avons accompli nos objectives dans une façon consistant avec les veux que j'avait fait aux peuple américaines au début de l'opération militaire. J'avais dit que la rôle de l'Amérique aurait été limitée et que il n'y aura pas de soldats américaines au sol en Libye. J'avais dit que nous devrons concentrer nos capacités militaires uniques sur le début de l'intervention principale et que nous devrons transférer les responsabilités à nos alliés et partenaires. Ce soir nous sommes prêt à remplir notre promesse. Notre alliance très rodé, l'OTAN, a pris la direction du mandat pour assuré l'embargo d'armes le zone d'interdiction de vol. Hier soir, l'OTAN, a pris en plus la responsabilité de protéger les civils libyens. D'ici, la direction pour faire respecté le zone d'interdiction de vol et la protection de civils au sol passerait à nos alliés et nos partenaires. et je suis très confident que la coalition garderai de la pression sur les forces de Qhadaffi qui restent. Dans cet effort, les Etats Unis va joué un rôle de support, qui inclue la renseignement, le support logistique, la recherche et les interventions de récupération, et la brouillage de communications. Grace à ce transfer opérationnel à une coalition plus grande, les risques et les coutes de l'operation, pour les services militaires et pour les contribuables américains. Pour ceux qui avait des doutes sur notre capacité à entreprendre l'opération en Libye, je voudrais être très claire: les Etats Unis a fait comme nous avons dit. Cela ne dit pas que notre travaille est fini. En plus de nos responsabilité à l'OTAN, nous allons nous y mettre avec la communauté internationale pour fournir l'assistance aux peuple de Libye, à fornir la nourriture à ceux qui ont faim, et l'assistance médicale aux blessés. Nous allons sauvegarder le plus de 33 milliard de milliard de dollars que nous avons gelé, pour qu'il soit disponible pour la reconstruction du Libye. Après tout, cet argent n'appartienne ni à Qhadaffi, ni à nous. Il appartienne aux peuple libyen, et nous allons faire certains qu'il y leur revienne. Demain, le ministre des Affaires étrangères, Mme. Clinton, va aller à Londre, où elle va rencontré des membres de l'opposition libyenne, et s'entretienne avec plus de trente pays. Les discussions vont se concentrer sur quel sorte d'effort politique sera nécessaire à faire pression sur Qhadaffi et, en même temps, promouvoir une transition à un avenir dont les peuple libyens ont le droit. Car notre mission militaire se concentre sur le but de sauver des vies humaines, nous allons continué à promouvoir un Libye pour les peuple libyen, sans dictateur. En dépit du sucés de notre intervention pendant la dernière semaine, je sais qu'il y a des Américains qui continue à se poser des questions sur notre rôle en Libye. Qhadaffi n'a pas encore relâché le pouvoir, et donc jusqu'au moment qu'il le ferra, la Libye restera un lieu dangereux. En plus, même si Qhadaffi quite le pouvoir, quarante ans de la tyrannie a laissé le Libye fracturer et sans institutions civils bien ancrées. La transition à un gouvernement légitime qui est attentif en priorité au peuple libyen sera un tache difficile à accomplir, et même si l'Etats Unis ferra sa part pour y aider, ça sera un travail pour la communauté internationale entière à prendre en main; mais, encore plus important, ce tâche devrait se faire par le peuple libyen eux-même. De fait, beaucoup du débat à Washington a présenté des choix faux en ce qui concerne la Libye. D'un coté quelques uns posent la question pourquoi l'Etats Unis devrait intervenir de tout, même dans une façon limitée, dans ce pays lointain. Ils propose qu'il y a beaucoup d'endroit au monde où des civils innocents font face à la violence de leur dirigeants, et il n'est pas la rôle de l'Amérique à se faire policière du monde, et en particulier quand nous avons déjà des problèmes tellement pressants ici chez nous. C'est vrai que nous ne pouvons pas utiliser notre militaire partout où il se trouvera la répression. Et, étant donné les coutes, et les risques associé avec une intervention militaire, nous devrons étudier soigneusement nos vrais intérêts contra le besoin véritable pour action, mais ça ne peux pas être un argument juste pour jamais s'engager sur la coté du bon. Dans le cas de la Libye, en ce moment, nous avions eu devant nous le spectre d'une violence probable d'une grande échelle. Nous avons eu les moyens unique d'arrêté cette violence: un mandat international pour agir, une coalition prêt de se mettre avec nous, le soutien de pays arabes, et l'appel. du peuple libyen eux-même Nous avions en plus les moyens d'arrêté l'armée de Qhadaffi sur le lieu, sans être obligé d'engager les soldats Américains sur le terrain directement. De repousser la responsabilité Américaine en tant que leader, et, même plus profondément, nos responsabilités aux êtres humains en générale, aura été une acte de déloyauté contre notre idée de nous-même. Il y a des nations capable à tourner la tête aux atrocités dans d'autre pays. L'Etats Unis d'Amérique est different, et, en tant que Président, je refuse d'attendre des images de carnage et des charniers avant de agir. Aussi, l'Etats Unis a un intérêt stratégique à empêcher Qhadaffi à supprimer ceux qui le fait opposition. Un massacre aura fait fuir des milliers de libyens, et à prendre refuge à l'extérieur de la Libye dans l'Egypt et laTunisie, qui sont eux-même dans une période de transition très fragile. Une impulsion favorable à la démocratie en l'éveil partout dans le région aura été éclipsé par la réussite d'un des dictateurs le plusfrustre et répressif est le meilleur stratégie pour se tenir au pouvoir. L'assignation pour Qhadaffi du Conseil de Sécurité de l'ONU aura été une parole vide de sens, risquant de réduire son efficacité et sa crédibilité à l'avenir de promouvoir la paix et la sécurité d'états. Même si je ne minimize jamais les coûtes de l'action militaire, je me suis persuadé qu'un échec au Libye aura coûté l'Amérique beaucoup de plus. S'il y en a les uns qui ont pris la parole en favor de l'intervention au Libye, d'autres s'ont voulus élargir la mission militaire au delà de celle de la protection des civil libyens et faire tout la nécessaire pour enlever de Qhadaffi son pouvoir, et établir un gouvernement nouveau. C'est vrai, il n'y a pas de question que la Libye et le monde serraient pour le mieux sans Qhadaffi au pouvoir. Moi, ensemble avec beaucoup d'autre dirigeants mondiales, ont embrassé cet objectif et à l'intention de le poursuivre avec d'autre moyens que militaire, mais d'élargir notre mission pour inclure un changement du régime serais un error. Le tache que j'ai donné à nos forces militaires— à protéger le peuple libyen du danger imminent et à mettre en place un zone d'interdiction de vol — a l'approbation par mandat de l'ONU, et du soutien internationale. On fait ce que l'opposition libyenne nous ont demandé à faire. Si nous essayons d'enlever Qhadaffi par les moyens de force, notre coalition se fracturaient. Ca fera plus probable l'envoi les soldats américains en Libyé pour accomplir cette mission, ou prendre la risque de tuer plus des civils de l'air. Les dangers pour nos hommes et femmes en uniforme seraient plus grands, et le coûte aussi, et la responsabilité de la suite. A être brutalement honnête, nous avons pris cette route déjà en Iraq. Merci aux sacrifices extraordinaires de nos soldats et la determination de nos diplomats, nous avons l'espoir pour l'avenir d'Iraq, mais un politique de changement de régime en Iraq a pris huit ans, des milliers de vies Américaines et Iraqiennes, et a couté un billion de dollars. Nous ne pouvons pas faire répéter ça en Libye. Au fur et a mesure que notre rôle militaire se deminue, ce que nous pouvons faire— et nous allons le faire — et de seconder les aspirations du peuple Libyen. Nous avons fait l'intervention d'empêcher un massacre, et nous allons travailler avec nos alliés et partenaires à maintienne la sécurité des civils. Nous allons interdire au régime l'importation d'armes, bloquer son accès à l'argent, aider l'oppositon, et travaille ensemble avec d'autres nations pour faire venir plus rapidement le jour quand Qhadaffi quitte le pouvoir. Si tout ça ne passerai pas forcement dans un jour, pendant que Qhadaffi, très affaibli, essaie d'accrocher au pouvoir, mais il doit être très clair au gens autour de Qhadaffi, et a tout libyen que l'histoire n'est pas sur la coté de Qhadaffi, que, avec le temps et l'espace que nous avons donné au peuple, il vont trouver leur propre façon de prendre leur destin en main, et c'est comme ça que ça devait se passe. Permettez moi de conclure par dire en quoi cette engagement voudrais dire sur l'emploie des forces militaires Américaines et notre participation aux affaires du monde pendant mon présidence. En tant que Commandant en Chef, je n'ai aucune responsabilité plus grande que d'assurer la sécurité de notre pays. Et Aucune décision pèse plus sur moi que celle de donner l'ordre de déploiement à nos hommes et femmes en uniforme. J'espère d'avoir le dit très clairement que je n'hésiterai jamais d'utiliser notre miliaire très rapidement, et dans une façon décisive, et même unilatéralement si nécessaire, pour défendre notre peuple, notre patrie, nos alliés et nos intérêts fondamentales. Ca explique pourquoi nous poursuivons l'al-Qaeda partout où il essaie de s'enracine; et c'est pour cette raison que nous sommes militairement en Afghanistan au même moment que nous avons terminé notre rôle de combat en Iraq et avons dégagé plus de 100,000 soldats de ce pays. Il y aura les occasions, cependant, quand notre sécurité n'sera pas menacée directement mais, en même temps, nos intérêts et nos valeurs puissent en être A arrive dans la cours d'histoire que nous devons fait face aux défis qui menace notre humanité même, et notre sécurité collective. Pour répondre aux catastrophes naturelles, par exemple. Ou bien, empêcher la génocide, et défendre la paix. Assurer la sécurité régionale, et le bon ordre dans le fonctionnement des voies commerciales. Ils ne sont pas, peut-être, le problème des Etats Unis tout seul, mais ça n'empêche qu'il soient important pour nous. Ils sont ces problèmes que nous sommes entrain de résoudre. Et, dans telles situations, nous savons bien que les Etats Unis, en tant que la nation le plus puissante du monde, va être appelé au secours. Dans ces cas, il ne faut pas que nous avons peur d'agir, mais la responsabilité ne dois pas tomber à l'Amérique tout seul non plus. Comme nous avons fait en Libye, notre rôle doit être à mobiliser la communauté internationale à intervenir collectivement. Au contraire aux avis de quelques uns, ce n'est pas la propre rôle d'Amérique d'agir tout seul, et porte tout le poids. La meilleur façon de diriger est de créer les bonnes conditions d'agir, former les coalitions adaptées pour encourager la participation d'alliés et partenaires, en faisant en sorte qu'ils portent un part de la fardeaux et payent leur part des coûtes. Et, pour fait certain que les principes du justice et de la dignité humaine soit respecter par tous. C'est le sort de rôle de direction que nous avons exemplifié en Libye. C'est d'accord que, même quand nous agissons comme partie d'une coalition, les risques de combat sera assez haut. Cette sorte de risque s'est montré l'autre jour quand un de nos avions à tomber en panne pendant une mission en Libye. Mais il faut remarquer que, quand notre pilot est tombé dans ce pays où le dirigeant avais si souvent nous traité de démon, dans un région avec qui nos relations avait été souvent conflictuelles, le pilot n'a pas trouvé l'ennemie; il était accueillis par les gens qui les ont embrassé. Un jeune Libyen qui l'a porté secours sur le lieu où l'avion à tomber, a dit, "Nous sommes amis. Nous somme si reconnaissant à vous tous qui viennent protéger le ciel au dessus nous." Ce voix n'est qu'un parmi beaucoup d'autres dans un région où une nouvelle génération n'acceptent plus d'être refusé leur droits, et les opportunités. Oui, ce change va compliquer le monde pendant un certain temps; le progrès sans doute doit être irrégulier. Et, c'est probable que le change va arriver différemment pour chaque pays. Il y a des pays comme l'Egypt où la transition va nous inspirer et faire monter les espoirs. Puis, il y aura les pays comme l'Iran où tout change est réprimé avec l'acharnement. Les forces retardataire derrière les conflits civils et les guerres sectaires doivent être contrariés, et il sera nécessaire aussi de faire face aux circonstances économiques et politiques très complexes. Les Etats Unis ne serraient pas capable tout seul à contrôlé ni le rythme, ni le envergure du processus de change, seulement le peuple du région peuvent le faire. Masi, nous pouvons faire une différence. Je ne crois pas que ces mouvements pour change peuvent revenir au temps révolus, et nous devons rester à coté de ceux qui croient aux même principes de base qui ont guidés nous-même à travers combien d'orges. Notre opposition à la violence sur un peuple par ses propre dirigeant. Notre soutien pour les droits universels d'homme, qui inclue la liberté de la parole et le droit à choisir un leader. Notre soutien aux gouvernements qui sont sensible aux aspirations de leur peuple. Née comme nous sommes, d'une révolution de ceux qui voulaient être libre, nous comprenons bien le fait que l'histoire bouge dans le Moyen Est et l'Afrique du nord, et que les jeunes gens sont en tête du mouvement. Parce que n'importe où un peuple a envie d'être libre, ils vont trouver un ami en nous, les Etats Unis. Au bout du compte, c'est une foi de cet sorte, de telles idéales, qui est le vrai mesure de l'obligation de la prise de direction des Etats Unis. A vous tous, mes concitoyens Américains, je sais que au moment d'instabilité à l'étranger, quand les informations n'est que du conflit et du changement, c'est tentant de vouloir tourner le dos au monde. Comme j'ai déjà dit, notre puissance en dehors du pays est ancré dans notre puissance ici chez nous. Ca doit rester notre étoile nord: la capacité de notre peuple de developer leur potentielle, à faire des choix sages avec nos ressources naturelles, d'élargir le voie à la prospérité qui nous sers comme ressort de notre pouvoir, et de rester fidèle aux valeurs dont nous sont si profondément attachés. Mais, il faut que nous nous rappelons que nous avons fait un travail en continue pendant des générations pour protéger nos propres citoyens et les milliers de gens partout dans le monde. Nous l'avons fait car c'est comme ça que nous pouvons savoir que notre futur soit sûr, que notre futur soit illuminé avec la lumière de la liberté et de la dignité. Ce soir, laissons nous donner nos remerciements sincères aux Américains qui servent dans nos forces militaires et à la coalition qui porte nos efforts en avant. Permettons nous de regarder l'avenir avec de la confiance et de l'espoir, pas seulement pour notre propre pays, mais pour tous qui cherchent la liberté partout dans le monde. Je vous remercie. Que Dieu vous bénisse, et que Dieu bénisse les Etats Unis d'Amérique.